Et sinon, une envie irrépressible de nettoyer mes lunettes, vous croyez que ça peut passer?
Le temps est pourri donc pour aller marcher dehors, c'est moyen (mon imper ne ferme plus devant, je ne sais pas pourquoi) donc je monte au 8ème étage et je descends par les escaliers (en fait je commence par descendre à pieds mes deux étages pour aller prendre le courrier et ensuite je remonte au 8ème), en espérant que ça aide un peu mon histoire, là. Parce qu'autant la semaine dernière j'ai eu des épisodes de contractions rapprochées, autant cette semaine, nada...
Je n'arrive pas à concevoir que le travail puisse se déclencher comme ça, j'ai l'impression que ça va demander une mise en place dont je me rendrai compte... force est de constater que pour l'instant je ne vois rien venir.
J'ai tellement hâte maintenant...
Bon eh bien il ne me semble désormais plus impossible d'aller jusqu'au terme (voire de le dépasser? misère...).
Je m'étais presque mis en tête que le déclenchement était inévitable et je suis toujours là.
J'avais RV à la clinique hier, ma tension n'est pas brillante (14/9 toujours) mais mes analyses sont nickel (y compris les plaquettes pour la péridurale) et j'ai un nouveau RV lundi pour faire le point à deux jours du terme.
La louloute continue à bien remuer (d'ailleurs de manière assez inhabituelle la nuit dernière - nuit pourrite s'il en fut)
Aujourd'hui, jour d'anniversaire de Monsieur Lirn, je fais un gâteau au chocolat.
Le nettoyage des vitres et du frigo ne passera pas par moi (pas aujourd'hui, du moins!)
Au passage, félicitations à Zazouille qui a accouché hier soir d'un petit Gabriel!
Ben non.
C'est que je suis MÛRE pour accoucher.
Je ne sais pas si vous avez déjà fait cette expérience en voyage: vers la fin, les tous derniers jours je sens que la fin approche et que vient le temps de rentrer, alors je ne suis plus tournée que vers le chemin du retour puisqu'il fait partie du voyage aussi et je n'ai d'autre hâte que de le faire.
Là c'est un peu pareil. La grossesse se termine et je n'ai plus en tête que la naissance de notre fille. Je tourne un peu en rond et il m'est difficile de "profiter" de ces derniers jours... Je ne suis plus qu'attente...
Salut les gens, j'apprends coup sur coup que la FIV de la Fille a marché ( on y croit fort fort fort!) et que Snow est maman depuis 15 jours!
Alors c'est vrai que je n'allume pas mon PC tous les jours (trop loin du canapé tout ça...) mais là c'est juste trop bon (même si les petits de Snow sont arrivés un peu en avance je suis sûre que ce sont des champions et que bientôt tout le monde rentrera à la maison).
Ici, rien de neuf, on attend, quoi... et comme je suis une flemmasse, après lecture des deux derniers posts de Cami j'ai trouvé que c'était une bonne idée du coup voici mon retour d'expérience sur les mois qui viennent de s'écouler... Copyright Cami, donc.
Si je pense à d'autres trucs je mettrai le post à jour (mais quelle feignasse!)
Aujourd'hui est clairement un jour sans.
Ca a commencé par une nuit sans (sommeil) et je pense que la fatigue n'est pas étrangère à mon humeur.
J'en suis à deux siestes par jour et la sensation d'avoir la tête dans le *** qui va avec, l'impression de ne plus être bonne à rien sans pour autant que ce soit efficace sur l'épuisement. Je me repose mais je ne suis pas reposée.
Peut être que c'est le sentiment de l'imminence de la fin de cette parenthèse un peu surréaliste, la fin de la fusion avec mon bébé. La peur aussi dont je parlais hier - mon bébé bouge moins, plus discrètement, un bon coup de pied me rassurerait certainement un peu... Je sais que c'est souvent le cas en fin de grossesse mais j'ai du mal à savoir si c'est dans des proportions normales chez moi ou pas. Hier le monitoring s'est bien passé (peut-être que la sage femme aurait dû éviter de me dire que mon bébé était un peu endormi), je l'ai sentie bouger aujourd'hui à plusieurs reprises... Cette trouille qui revient... Allez, je vais attendre que mon homme rentre et on ira marcher un peu.
J'avoue qu'hier je me suis demandé si PMGirl, Zazouille et Cami étaient encore là.
J'ai tellement l'impression que je vais aller jusqu'au terme...
J'ai eu plus de contractions aujourd'hui mais pas des vraies contractions de travail.
Ce matin ma tension (passée la première mesure à 18/10 - oui madame - remerciements au monsieur qui m'a stressée à l'accueil) était stable, mon bébé un peu endormi (mais monitoring normal).
De manière générale je trouve qu'elle bouge un peu moins. Je surveille son activité sur la journée.
C'est peut être débile mais depuis quelques semaines, plus on approche du terme plus j'ai peur que tout s'arrête, que tout ça n'ait été qu'un rêve. Comme quoi le passé ne nous lâche jamais vraiment.
Je sais que dans quelques jours, quand elle sera là, j'aurai sans doute peur de la casser et de la perdre d'une autre manière, peur de ne pas savoir en prendre soin...
RAS.
Je suis toujours là.
Crevée (à un point! ) mais toujours là.
Y'en a encore pour deux semaines, notez...
Je ne sais pas du tout à quoi m'attendre.
J'ai mal aux reins par moment mais est-ce que c'est quelque chose d'autre que ma posture désastreuse rapport à mon appendice ventral?
Mon bébé bouge tranquillement.
Je cuisine.
La chambre est prête.
Visite du 9ème mois ce matin.
Ayé c'est fait.Terminé les visites de suivi (je parle pas du suivi de ma tension et de mon RV du lundi à la clinique).
D'ailleurs pour marquer le coup j'ai innové: mon médecin a toujours 3/4 d'heure de retard.Minimum.Je persiste à arriver à l'heure au rendez vous (c'est un tour de force quand on me connait, croyez moi: avant j'arrivais toujours en avance même sachant que lui serait en retard - ce genre de comportement m'a fait perdre un temps fou mais on ne se refait pas et je trouve que je me suis considérablement améliorée du coup).
Alors aujourd'hui j'arrive à l'heure dite (10h45... en fait 10H55, je fais vraiment des progrès).
Trois personnes devant moi. OK. 3/4 d'heure donc. Je sors mon bouquin. Mais voilà il fait très chaud. Trop chaud. Beaucoup trop chaud (ne pas oublier la notion de double radiateur interne quand on est enceinte).
Je sens qu'il faut que je sorte. Donc je sors, non sans avoir dit à la secrétaire que si je reste là je vais faire un malaise et que comme il y a du monde avant moi je vais faire un tour.
La secrétaire, ça l'arrange, elle n'a pas très envie de gérer un malaise et je vais prendre l'air. Jusqu'à la maison de la presse pas loin.
Enfin pas loin. J'ai quand même tendance à oublier que "marcher d'un bon pas" pour moi revient à aller à la même allure qu'un enfant de deux ans et que systématiquement depuis quelques mois je sous estime largement le temps nécessaire à faire telle ou telle chose (et j'oublie d'une fois sur l'autre que la dernière fois il m'a fallu deux fois le temps habituel - on a déjà parlé du SNU, non?).
Bref, tout ça pour dire que je suis arrivée en retard à mon rendez vous en retard.
Pas mal hein? Fallait bien que je marque le coup et ca aura eu le mérite de mettre tout le monde de bonne humeur quand je suis finalement entrée dans le cabinet du
médecin: moi parce que je trouvais ça comique, le médecin parce qu'il s'en fiche et que de voir que je riais bien ça l'a fait rire aussi, et le jeune couple qui a eu la chance de prendre ma place
parce qu'il a pu passer 1/4 d'heure plus tôt.
La tension reste stable, finalement le médecin ne voit pas vraiment de raison de déclencher et est plutôt d'avis de laisser un peu de temps à la demoiselle pour décider de son entrée en scène. Ca en fait c'est plutôt une bonne nouvelle je trouve. Moi aussi j'ai envie de laisser à mon bébé le temps d'arriver.
A ce niveau là, d'ailleurs, elle n'a pas l'air pressée... "oh là là votre col est encore bien fermé", "votre bassin est bien" (??) et "le bébé est haut, très
haut", "ça c'est un bébé qui n'a pas envie de sortir".(Et là je me pose la question de savoir ce que je vais sentir quand ledit bébé va amorcer sa descente, sachant qu'en l'état actuel des choses
c'est pas le confort extrême au niveau de la sortie)
Vous allez voir que je vais dépasser le terme.
Ce serait un comble, non?
On va dire que ça me laisse un peu plus de deux semaines pour me poser un peu (je me sens tirée d'affaire pour le coup avec un bébé à terme et une tension correcte, ça fait du bien).
A part ça, mardi j'ai eu l'occasion d'assister à une réunion d'information sur l'allaitement.
En parallèle je lis un bouquin que m'a prêté ma soeur sur ce sujet.
Ce que j'ai retenu? Que d'une part c'est un choix personnel et que leur jugement, les autres peuvent se le mettre au fond de la poche avec leur mouchoir par dessus (pour rester polie), et d'autre part si c'est celui qu'on fait, il faut être prêt à affronter des discours contradictoires et à faire un peu confiance à notre ressenti même si c'est un premier bébé, parce qu'a priori il n'y a pas une recette qui vaille pour tout le monde et que le vécu de chacun influence son approche en la matière.
En gros, je vais essayer sauf si c'est pas possible.
J'ai vraiment envie de réussir.
Sinon j'ai déjà mal aux seins alors que mon bébé n'y a pas encore touché: je pense qu'on va passer de grands moments, mes seins, mon bébé et moi.
Visite hebdomadaire à la maternité.
La pucette aime toujours autant le monitoring (comprendre "pas du tout") et fait tout ce qu'elle peut pour échapper au capteur.
Je suis bien désolée de lui imposer ça...
Niveau tension c'est statu quo, toujours limite sauf que je suis à 37+6SA, donc 38SA demain et les déclenchements, ils les font à 38 ou 39SA en général.
Alors je ne sais pas trop à quelle sauce je vais être mangée: la sage femme ce matin me disait que compte tenu de mon terme il se pouvait qu'on me donne une date de déclenchement dès cette semaine ou dans le courant de la semaine prochaine, le médecin de son côté m'a dit que je continuais le suivi de la tension (mercredi et vendredi puis hopital de jour lundi comme depuis 3 semaines).
Ce que je crois, moi, c'est que tout le monde attend que je voie mon gynécologue jeudi pour la visite du 9ème mois et que tout sera fait en fonction de son avis. S'il en a un.
Finalement je ne suis pas certaine d'être beaucoup plus avancée, et j'espère toujours secrètement (enfin, secrètement...) qu'elle fera fi des médecins et décidera elle même du moment de son entrée en scène...
Bon sinon ma mère débarque demain (je sais qu'elle espère que j'accouche pendant qu'elle sera là ce que je ne souhaite pas - il faut que je briefe ma cocotte), j'ai également RV pour une réunion sur l'allaitement en début d'après midi.
Faut que j'appelle la structure qui s'occupe des crèches peut-être que cette fois ci ils vont consentir à m'accorder un RV (j'essaie depuis juillet) et aussi la nounou que m'a recommandée un de mes collègues...
Je prends conscience que cette grossesse touche à son terme. Je ne sais pas si j'ai hâte qu'elle se termine. Peut-être que si.
Oserai-je dire que j'en ai un petit peu marre, surtout avec cette surveillance qui me stresse plutôt qu'autre chose?
Maintenant je veux plonger dans le grand bain. De toutes manières il faudra bien que ça s'arrête, non?
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